ment de ce Hues le Dcf- -penfior et ainfi me fuis» ici afiuye comme femme efgarée et mal confeillee ' ; . ' pour avdlr confeil et confort de ces be-foingnes. Car fè Dieu, premièrement et vous ny remedies je ne me fcay a; qui retraire. Chap. viiu. Quant le noble • roy Charles de France eut oy fa feur ainfi lamenter et qui de bon cuer en* plourant moult tendre-ment lui remontrait fa\ befoigne et pourguoy • : elle eftoit venue en. - . France li m euft très • grant pitié et lui dis Ma belle feurf appaifîes- vous et fi vous confortez car par la foy que ie doy a Dieu et a monfeigneur feint- Denys je y pour- verray de remède, • (p..2S&)' (ç& im.p. imUn; 1& (cli. 135; foi; lêê«. b. Si fut mis en la premiere Si fut* mifé en-ht pre* bataille le ieune prince miere le jeune prince de de Galles^ et auecques Galles». kaueuc luj le 1